quinta-feira, 27 de dezembro de 2007

CONTRIBUTO PARA UMA LEITURA DA IGREJA DA SANTÍSSIMA TRINDADE DE FÁTIMA




“ O que agrada na beleza não é o objecto mas a apreensão do objecto”
S. Tomás d’Aquino


Olhar de peregrino ou leitura teológico-pastoral dos principais componentes da igreja da Santíssima Trindade do santuário de Fátima ( Ver Apocalipse, 21, 12-14 )

Estamos perante um templo em forma circular – a perfeição das formas geométricas – evocadora da perfeição máxima: Deus/Trindade.
Os elementos que habitam o seu interior respondem de modo feliz àquela finalidade intuída pelos artistas que lhe emprestaram o seu génio. Nesta viagem de peregrino vamos descobrir a sua riqueza.
O painel do fundo em material nobre exprime a beleza da Jerusalém Celeste, outro jeito de dizer Igreja Triunfante. ( cf. Ap. 21, 2-3 ). Para cada um de nós há aí um lugar. A essa magnifica assembleia preside o Cordeiro ( Ap. 21, 22-23 ) na zona central,
“ a Ele louvor e glória pelos séculos… ( cf. Ap. 7, 9-12 ).
Figurações humanas aparecem com identidade reconhecida ou não… A construção da cidade não está acabada…Brilhantes são as peças banhadas pelo tom pascal ( o ouro ) que se movimentam para terem lugar neste majestoso puzzle.
Portais solenes vão acolhendo “as pedras vivas do templo do Senhor…” que passando pelo altar, onde o Cordeiro imolado é fonte de santificação universal, atingem o brilho pascal prontos a tomar o seu lugar da eterna aclamação a Deus e ao Cordeiro. (AP. 7, 9-10).
Sim, essas “pedra vivas” somos todos nós que estando do lado de cá na assembleia crente ainda não libertos da lei da morte mas militantes firmes na Esperança da Vida, com lugar certo na zona Triunfante desta Igreja, graças ao Filho morto e ressuscitado – o Cordeiro imolado!
O altar do sacrifício, de onde jorra essa vida, está diante de nós e é a ponte que dá passagem para o outro lado: “novos céus e nova terra”.
Entretanto, majestoso, está sobre o altar o Cristo crucificado, imponente, grande como o mundo do sofrimento. O seu olhar inquieta, não acusa. Interroga: “Porque me fizeste isto? Que mal te fiz eu?”
Quem é este Cristo? É Aquele que “ está em agonia até ao fim dos tempos”, na expressão de Paul Claudel.
Esse Cristo é toda a humanidade que sofre. Lá estamos nós mas, mais ainda as vítimas de gritantes atropelos, de todo o tipo de opressão e de injúria, (contra a dignidade humana), consentidos por nós. Sofrimento que a cada momento as nossas injustiças geram. Esta noite, dezenas de milhares de irmãos morreram de fome no mundo e não havia necessidade.
Este Cristo traduz de modo feliz todo esse tipo de sofrimento. Nele somos nós e os nossos irmãos que sofrem a dolorosa paixão que fabricamos e de que somos vítimas. Esse Cristo que tem a marca do Filho olha-nos de frente! O seu olhar perturba-nos: “Que mal te fiz eu para me pregares numa cruz?...” è essa a imagem que nos é dado contemplar. Não a de Jesus de Nazaré que gostávamos de ver… Não! Esse esteve três ou quatro horas na cruz e foi sepultado como diz o Credo. E diz também: ressuscitou ao 3º dia. Não está mais na cruz. “Porque procurais entre os mortos aquele que está vivo…vai à vossa frente. A morte não tem poder sobre Ele. Nunca mais o podemos contemplar na cruz!
A imagem de Cristo, no exterior do templo, na imponência da Cruz Alta, bem pode ilustrar a passagem de Isaías, cap. 52: “ de tal modo estava desfigurado que já nem tinha feições de homem, mais parecia um verme… os que passavam desviavam a cara, tal o aspecto do seu rosto…”
A Virgem do Rosário, no interior, é um encanto de beleza, delicadeza e alegria em crescendo…

Possa esta reflexão de peregrino ajudar a olhar, com olhos novos, para este majestoso e maravilhoso templo. Muito mais há nele a descobrir..
Assim se torne, como o Templo de todos os tempos, proclamação viva da palavra de Deus, lugar de acolhimento para todos os que o procuram.

Fátima,21 de Dezembro, 2007

Frei Marcos Vilar o. p.

ADEUS MINHA MÃE!

Adeus minha mãe, adeus meu pai,
Adieu mes frères et soeurs, il faut que je m’en aille.
Adieu mon fier clocher qui rythma notre foi,
Tu as pleuré la mort, tu as chanté la joie.
Adieu mes chers cahiers, l’école et son préau
Qui abrita nos jeux. Qu’importait le héros :
Guerrier ou conquérant ? Là demeure mon enfance
Avec ses cris de joie et sa grande insouciance,
Ses moments de gaieté et de pleurs tour à tour.Adieu mon vieux curé. Vous reverrai-je un jour ?
Et toi, brave Adélia, dans un grand dévouement
Tu as appris à lire à tant de garnements !
Adieu tous mes copains. Nous avons partagé
Nos peurs et nos récrés. Avec les plus âgés
Qui étaient nos idoles, combien avons-nous fait
De farces et de bêtises dans des rires étouffés ?Adieu mon doux village où j’ai été heureux,
Où vécurent avant moi tant de gens valeureux
Qui ont su arracher avec force et courage
Leur substance de vie d’un sol dur et sauvage,
Une vie de tourments, d’aléas, de labeur
Mais aussi de tendresse, d’espoir et de bonheur.
Mes pères ont tant trimé sur cette terre aride
Et pourtant qu’elle est belle, sans une seule ride !
Tes vieux murs de rocaille, tes routes et chemins
Depuis la nuit des temps ont été les témoins
Fidèles et muets de secrets, confidences,
Rendez-vous amoureux ou de projets d’alliance,
Des dernières nouvelles, intrigues et commérages.Mais n’est-ce donc point là le charme d’un village ?
Et pourtant je m’en vais, laissant tous ceux que j’aime,
Allant vers l’inconnu avec mes seuls poèmes.
Je me sens orphelin et je me sens coupable,
Suivant bien malgré moi le courant intraitable
Qui déchire nos vies en faisant abstraction
Des sentiments humains. O folle émigration !
Adieu tous mes amis, compagnons de jeunesse.
Vous tous qui m’entourez, respectez ma détresse.
Vous vivez mon chagrin. Surtout ne pleurez pas
Afin de m’épauler et d’alléger mes pas.
Le fardeau que je porte est déjà bien trop lourd
Et je ne voudrais pas faillir à ma bravoure.J’emporte dans mon cœur ce sourire qui tremble,
Ces larmes contenues qui couleront ensemble
Quand le dernier tournant m’aura fait disparaître.Je souffre dans mon âme et dedans tout mon être.
Adieu mon beau pays, je t’aime et je te laisse.
Me pardonneras-tu ce geste de faiblesse ?
Est-ce moi qui te quitte ou toi qui me renvoie
Tel un enfant renié ? Et pourtant tu le vois,
Tu le sais comme moi, il n’est point d’autre issue.
Qui de nous est ingrat ? Moi qui t’ai fort déçu
Ou toi qui ne sais plus produire en abondance ?
Pourquoi voir un motif qui n’a plus d’importance !
Je vais vers mon destin, poussé contre mon gré
Par des vents imprévus. Je suis un émigré.
Comme d’autres avant moi je vais tenter ma chance.Je ne suis pas un lâche même si tu le penses.Je ne déserte pas. Je veux tout simplement
Et trouver du travail et vivre dignement.J’emmène bien cachés dans mon mince bagage
Un petit pot de terre, symbole du village,
Un brin de mimosa, la photo des parents
Au regard si profond, si doux et transparent,
Ce pain tout croustillant cuit aux heures matinales
Spécialement pour moi dans le four communal,
Une fleur de chez nous et mes chers souvenirs
Qui vont m’accompagner, m’aider, me soutenir.
Quarante ans ont passé. J’ai vécu, j’ai vieilli
Loin de toi, de tes cieux. Je t’aime, ô mon pays.Il est entre nous deux une histoire d’amour.Dans tes bras j’ai grandi et j’ai connu le jour.Ne rougis pas de moi, je n’ai rien oublié,
Ni le feu du soleil, ni l’odeur des figuiers,
La brume des rivières s’élevant comme un voile,
Les nuits de plein été aux myriades d’étoiles
Où le chant des grillons et le bruit des troupeaux
Déchirent le silence des villages au repos.
Les souhaits échangés : boa noite, bom dia,
Les mots de bienvenue : então ? como stá ?
La plainte lancinante des ânes levés dès l’aube,
La grâce des chevaux dans leur superbe robe,
Le parfum entêtant des orangers en fleurs
Et des eucalyptus le soir, à la fraîcheur,
La poussière des chemins soulevés en nuages
Par les sabots des chèvres lors de chaque passage.
Le rose délicat, la beauté si fragile
Qu’offrent inlassablement les merveilleux avril
Qui couvrent de pétales des milliers d’amandiers
Paraissant étaler un voile de mariée,
L’arbuste qui a soif, le sol sec, craquelé
Et l’ombre bienfaisante, gracile et dentelée
Projetée à foison par une main divine
De tous les oliviers sur les champs, les collines.
Présents à l’infini, ils sont partout chez eux,
Accrochés aux coteaux ou près des résineux.Ils sont là et ailleurs, habillant de vert tendre
Boqueteaux et vallons dans les moindres méandres,

La chaude intimité des soirées en hiver
Devant la cheminée. On chante, on prend un verre
Groupés autour du feu, emmitouflés de laine.On boit le vin nouveau, on rit à perdre haleine
Narrant avec humour potins et aventures,
La récente infortune du brave père Arthur.Les rires se succèdent jusque tard dans la nuit,
Puis les voisins s’en vont sous la lune qui luit.
Il y a tant à dire, je ne sais plus me taire !
J’ai toujours devant moi le petit pot de terre,
Le mimosa séché et la rose fanée
Qui m’ont accompagné au long de ces années.
Les parents me sourient sans jamais se lasser
Dans leur cadre jauni aux nuances passées.
Et je vais maintenant te faire une surprise :
J’ai su, malgré le temps et contre toute emprise,
Conserver cet accent qui fleure bon le terroir,
Ces scènes quotidiennes soudées à ma mémoire,
Cet accent qui partout a vibré, a fait rire,
Mes phrases aux mots chantants qui souvent ont fait dire :
« Voilà un étranger ». Et lorsqu’il vient à moi
Caresser mes oreilles par l’ami en émoi
Venu dire des nouvelles, impatient, enjoué,
Les cordes de mon cœur se mettent à jouer
Et je ferme les yeux. Comment ne pas revoir
La file des moutons, le soir, à l’abreuvoir,
La gamme des couleurs revêtant la nature
D’un savant maquillage aux contours fins, si purs,
Mûriers tachés de sang, plages au sable doré,
La vigne prometteuse aux raisins mordorés,
L’ocre des chênes-lièges, la brebis qui met bas.Il est un trait d’union entre moi et là-bas,
Gommant éloignement, distances et frontières.Alors tu comprendras pourquoi j’en suis si fier
Et je sais maintenant être heureux, être gai.Je suis un des tes fils, je suis un Portugais.
Geneviève Vaz

P.S. Poema sobre a emigração, do nosso amigo Fernando, escrito por sua mulher,
Que adora Portugal!

terça-feira, 25 de dezembro de 2007

Boas Festas


NATAL DE 2007


Faz frio e é Natal.
Aqui está a gruta oferecida…
Mas não há presépio nem menino,
Lá dentro só prateleiras de metal.
Em vez de magos e pastores,
um pai natal enorme
aponta mil produtos de consumo.
Mas o rebanho humano tem cada vês mais fome…
Uma fome infinita que em nós mora.


Busco outra gruta
que o rasto de uma estrela aponte
onde sem pressas, correrias,
desponte serena a madrugada
e onde, desnudo, mãos vazias,
um menino nos dê a alegria
De ter tudo, tendo nada.

Eduardo Bento

quinta-feira, 20 de dezembro de 2007

BOAS FESTAS

CARÍSSIMOS:
Para todos vós que consultais este nosso espaço, que lhe dais vida e que me tendes incomodado tão pouco, quero deixar os votos de um SANTO NATAL, e que em 2008 nos reencontremos. Não quero deixar sem uma saudação especial o nosso companheiro Horácio Araújo: Nós estamos aqui!...
Nelson Veiga.

segunda-feira, 17 de dezembro de 2007

MAIS UM NATAL



Para os amigos que escrevem ou visitam o Blog, com votos de Boas Festas
E. B.

Dantes o Natal era em Dezembro. Agora ele começa muito tempo antes com anúncios, slogans publicitários. Há por todo o lado o desafio ao consumo e os grandes centros comerciais enchem-se de rostos ansiosos e apressados. Há um Pai Natal em cada canto apontando o produto que nos poderá fazer saudáveis e felizes; Há Pais Natal escalando paredes, dependurados de janelas, assomando a varandas. Lâmpadas multicores piscam em árvores de plástico rodeadas de prendas. As ruas das cidades são uma profusão de luz e cor num desafio aos olhos de quem passa. Luzes, muitas luzes, umas estáticas, outras intermitentes, a piscar, ou a desenhar palavras e imagens no céu da nossa noite.
O Natal é hoje um espectáculo oferecido aos nossos sentidos. Mensagem que nos arrasta para o exterior de nós mesmos e nos propõe, esplendorosamente, que vamos por aí fora transformando-nos em pacíficos e alegres consumidores. E então somos todos fraternalmente muito bonzinhos. Saudamo-nos com amizade, desejando «Boas Festas».
Lembro-me do Natal de outros tempos. A longa noite da consoada… o acolhimento da lareira… Ainda estavam todos vivos. A mesa ainda não tinha lugares vazios…Alguns vinham de longe e havia a alegria do reencontro. Andávamos de casa em casa, todas as portas estavam abertas e a mesa estava posta e nela havia lugar para todos.
Na noite escura da aldeia, um enorme tronco ardia no largo enchendo a noite de fulgurações. Olhando o céu escuro esperava que a qualquer momento a estrela dos Reis Magos se levantasse de Oriente e enchesse de luz os quatro cantos cardeais. Mas não, nunca veio a estrela. E tocava o sino na capela do vale. A estrada de terra não tinha luz mas nós lá íamos à missa da consoada e quando as vozes se erguiam no cântico «Alegrem-se os céus e a terra» um sentimento, vindo de longínquas eras enchia-nos de comoção. Não havia árvore de Natal, mas um presépio feito de musgo e povoado de figuras de barro; não havia Pai Natal mas era o Menino Jesus que trazia as prendas que deixava no sapatinho colocado à lareira. Prendas tão pobres mas que nos enchiam de pleno contentamento.

Não resta muito do Natal da minha infância. Mas que ao menos perdure o profundo significado dessa festa. O estreitar de laços entre as pessoas; a confraternização; o desejo de harmonia e o sonho de paz universal.
A profunda simbologia do Natal remete para uma vida de simplicidade e de despojamento, longe da ostentação. Ele é a recusa de todas as formas de violência e um convite ao reencontro dos sonhos mais profundos que o homem alberga no coração.

Eduardo Bento

sábado, 15 de dezembro de 2007

sábado, 8 de dezembro de 2007

SOLIDARIEDADE, PRECISA-SE

O CIRE - Centro de Integração e Reabilitação de Tomar, é uma instituição que acolhe crianças diferentes, onde lecciona a Vitória, esposa do nosso companheiro Eduardo Bento. Há ali um menino que, para melhorar a sua qualidade de vida, necessita da solidariedade tantas vezes negada pelo Poder. Natal, é tempo de solidariedade e o que a seguir se transcreve, cabe bem neste nosso espaço:


PEDIDO DE APOIO

O menor, Gonçalo Filipe Vieira Lopes, utente do CIRE, necessita com urgência de uma cadeira de rodas especial ( modelo exigido por prescrição médica), que lhe permita um posicionamento adequado para que possa usufruir de uma melhor qualidade de vida. O seu custo é de 8. 459,56 Euros ( oito mil, quatrocentos e cinquenta e nove euros e cinquenta e seis cêntimos).
Só a solidariedade de alguns permitirá a sua aquisição, uma vez que não existe de momento, outra alternativa.
Apela-se a essa solidariedade, certo de que o sofrimento alheio não nos pode ser indiferente.
Para o efeito foi aberta, nesta data, uma conta na Caixa Geral de Depósitos, agência de Tomar, com o seguinte NIB:003520990002664770004.

Pela Comissão de Solidariedade,

Luis Carlos da Silva Bonet ( Presidente da Direcção do CIRE )
Luís Salazar ( Advogado)

segunda-feira, 3 de dezembro de 2007

AINDA TE LEMBRAS?


Quando éramos pequeninos (parvos no sentido latino do termo, chavalecos, gaiatos) enfiavam-nos na cachimónia umas lengalengas para cercear espaço a pensamentos ou conversas menos virtuosos, que cantávamos em grupo quando deambulávamos pelos campos fora, em longas passeatas pedestres, também propositadas para fazer esquecer certas energias orgânicas que teimavam em manifestar-se. Há dias num ripanço na casa dum dos nossos, veio-nos à memória, a recordação dalgumas dessas jóias musicais, que lá fomos trauteando, com mais ou menos atropelo. Debrucei-me (ia-me desequilibrando…) sobre o assunto e procedi à recolha de algumas dessas cantigas, das quais aqui deixo esta pérola, para na próxima sairmos mais afinados.



A SANTA CATARINA

A santa Catarina, prelim perlim pépé
(bis)
Era filha do rei
(tri)

Seu pai era pagão, prelim perlim pépé
(bis)
Mas a sua mãe não (bis)

Que fazes Catarina, prelim perlim pépé (bis)
Ajoelhada aí
(tri)

Eu rezo a Deus meu pai, prelim perlim pépé
(bis)
Que não conheces tu (tri)

Ou deixas de rezar, prelim perlim pépé
(bis)
Ou mando-te matar (tri)

Pois podes-me matar, prelim perlim pépé
(bis)
Não deixarei de rezar
(tri)

O pai num turbilhão, prelim perlim pépé
(bis)
Amandou-lhe um facalhão
(tri)

E os anjinhos do céu, prelim perlim pépé
(bis)
Avieram buscar (tri)

Alexandrino

Estamos a caminhar para uma escravatura legal e adocicada?

“Caminha-se para uma escravatura encapotada quando, nem de propósito, acabei de falar com uma letã (também cidadã portuguesa) das minhas relações que, movida pelo desespero, "aceitou" trabalhar por 1,9 euros à hora, num trabalho técnico qualificado (topografia, ela é licenciada nisso)”.
E porque não lembrar os engenheiros civis portuguesíssimos, que conheço, contratados com o pomposo título de “director de obra”, ao preço de 600 euros mensais, sem horário.
“Mas não são obrigados a aceitar, logo são livres e não escravos”.
Já não falo da precariedade no trabalho, nem na liberalização dos horários, nem na deslocação arbitrária de trabalhadores - não falo, porque isso é propaganda política e deixo imediatamente de ter razão.

Ezequiel Vintém